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Recovery visa : un nouveau visa pour aider les entreprises après le cyclone Gabrielle

Recovery visa : un nouveau visa pour aider les entreprises après le cyclone Gabrielle

Le cyclone Gabrielle et les récentes inondations ont causés de nombreux dégâts aux particuliers et aux entreprises de l'île Nord de la Nouvelle-Zélande. Pour aider à la reprise, le gouvernement a annoncé le lancement du Recovery Visa (un visa de travail à but spécifique). Ce visa de courte durée permettra aux employeurs de parrainer des migrants pour qu'ils viennent en Nouvelle-Zélande pour travailler sur des missions d’intervention d'urgence.

Le pays connaît toujours des pénuries de main d’œuvre et a notamment besoin de spécialistes étrangers tels que des ingénieurs, des techniciens et des évaluateurs d'assurance pour soutenir les experts néo-zélandais sur le terrain.

Inondations en Nouvelle-Zélande : quel impact sur le marché de la location ?

Inondations en Nouvelle-Zélande : quel impact sur le marché de la location ?

Les experts en immobilier néo-zélandais sont formels : il faut s’attendre à des augmentations de loyers en Nouvelle-Zélande et particulièrement à Auckland après les deux événements climatiques dévastateurs de ces dernières semaines. En effet, les importants travaux de réparation des propriétés endommagées par les inondations affectent actuellement l'offre et la demande en matière de logement.

Inondations d'Auckland : comment démarrer le processus de réclamation d'assurance ?

Inondations d'Auckland : comment démarrer le processus de réclamation d'assurance ?

Les inondations de fin Janvier ont causé des pertes et des dommages importants aux habitants et aux propriétés de la région d’Auckland. Plusieurs jours après les intempéries et cet événement dévastateur, le nettoyage commence après “le plus grand événement climatique” du pays. Avec ce grand nettoyage actuellement en cours, le temps des réclamations auprès des assurances a également commencé ! Les analystes en assurance ont estimé qu'à en juger par les réclamations faites aux principales compagnies, il pourrait y avoir plus de 30 000 réclamations, totalisant environ 1 Milliard de dollars. Cela en ferait la catastrophe naturelle la plus coûteuse depuis les tremblements de terre de Kaikoura en 2016, qui ont coûté 2,27 milliards de dollars.