Electronic Travel Authority (ETA) : nouvelle mesure pour voyager en Nouvelle-Zélande

Le gouvernement néo-zélandais a récemment annoncé une nouvelle mesure de sécurité visant à faciliter et fluidifier l’arrivée des voyageurs aux aéroports internationaux. À compter du 1er octobre 2019, tous les voyageurs aériens de 60 pays, dont la France fait partie, devront posséder un “Electronic Travel Authority” (ETA) avant de se rendre en Nouvelle-Zélande.


L’Electronic Travel Authority (ETA) a pour but de :

  • renforcer la sécurité et réduire les risques liés à l’immigration

  • contrer les risques de contrebande et de biosécurité

  • améliorer l'expérience du voyageur

  • soutenir les relations internationales de la Nouvelle-Zélande

  • s'adapter à l'évolution des besoins et des exigences du gouvernement, des intervenants et des voyageurs


À partir de Juillet 2019, les voyageurs pourront demander un ETA, et cette procédure deviendra obligatoire pour les voyages concernés à partir du 1er Octobre 2019.


QUI EST CONCERNÉ PAR L’ELECTRONIC TRAVEL AUTHORITY ?

À compter du 1er octobre 2019, tous les voyageurs aériens de 60 pays dispensés de l'obligation de visa devront posséder une ETA avant de se rendre en Nouvelle-Zélande. Un ETA durera jusqu'à 2 ans et coûtera 9,00 NZD pour les demandes d'applications mobiles et 12,00 NZD pour les demandes via le Web.

Tous les membres des compagnies aériennes devront également détenir un ETA d’équipage avant de se rendre en Nouvelle-Zélande. Cet ETA d’équipage durera jusqu’à 5 ans et coûtera 9 NZD.

Les citoyens néo-zélandais (à condition qu'ils voyagent avec leur passeport néo-zélandais) et les titulaires de visas néo-zélandais en cours de validité (visas de résident et visas temporaires) continueront de pouvoir entrer en Nouvelle-Zélande sans autorisation préalable. Les passagers originaires d'un pays dispensant de visa ou d'un pays dispensant de visa de transit et transitant par la Nouvelle-Zélande doivent également être titulaires d'un ETA à compter du 1er octobre 2019, même si la Nouvelle-Zélande n'est pas leur destination finale.

Pour consulter la liste des pays concernés, rendez-vous sur le site de l’immigration.